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Au rythme des saisons, nous vous partagerons nos coups de coeur, temps forts de l'année, idées séjours, anecdotes, quiz…
Bordée par 6 km de côtes, la ville est résolument tournée vers la mer avec ses ports, ses plages de sable fin, ses villas balnéaires cossues, son Sémaphore, ses îles et sa célèbre piscine. Mais plus qu’une station, Saint-Quay-Portrieux est un village riche d’un petit patrimoine qui retrace son histoire : moulin, chapelles, fontaines et lavoirs ont bien des histoires à vous raconter…
Saint-Quay-Portrieux se compose de plusieurs quartiers
Kertugal, le berceau de la ville
Saint-Quay qui a vu arriver les premiers baigneurs
Portrieux le visage portuaire de la commune
Saint-Michel et son moulin
L'emblème de Saint-Quay-Portrieux, il n'y a pas d'heure pour la baignade !
En savoir plusAccessible à marée basse, l'île de la Comtesse intrigue, attire et invite à la découverte...
Explorez l'île de la ComtesseDe la pointe du sémaphore, vous aurez une vue imprenable sur la Baie de Saint-Brieuc.
Découvrez la pointe du SémaphoreChapelle, moulin, villas particulières… Tout un petit patrimoine à découvrir au fil de nos ruelles.
Construit en 1830, ce moulin fonctionna jusqu’en 1900 et fut converti en résidence de villégiature par une famille parisienne. Abandonné à son triste sort, la ville le rachète en 1971. Au gré des aléas du climat, sa restauration prit fin en 2009.
Opérationnel, il attire tout au long de l’année les curieux et passionnés, les petits comme les plus grands.
Construite en 1828 grâce à la générosité de quelques particuliers, sa forme de rotonde en fait l’originalité. Au retour de la grande pêche, les marins et leurs familles venaient s’y acquitter de leurs vœux.
Endommagée pendant la première Guerre Mondiale, ses premiers travaux de restauration furent bénis en 1924. Les murs et la décoration intérieure seront encore revus en 1980, ainsi que la bannière de procession en 2008.
Sa toiture ne compte pas moins de 14 000 ardoises !
A l’intérieur : 11 ex-voto en mémoire des marins disparus et une toile représentant « La Perle ». Ce navire armé pour la pêche à Terre Neuve fut sauvé du naufrage par la Vierge.
L’ancêtre du phare actuel date de 1853. C’était un feu fixe rouge installé sur une potence en charpente. La marine locale réclame un feu de port avec une meilleure portée.
Léonce Raynaud, directeur du service des Phares et Balises imagine une tourelle réalisée de façon originale en tôle avec des boulons rivetés : le phare actuel, une tourelle octogonale en tôle de 10 mètres de hauteur, fut un des premiers à être installé en France en juin 1867, après avoir été présenté à l’Exposition universelle de Paris cette année-là. Il fut ensuite démonté pour être livré en colis au Portrieux en 1868.
Ce phare a été ensuite déplacé durant l’été 1879 vers son emplacement d’aujourd’hui, après que la jetée ait été prolongée de 198 mètres. Il fut de nouveau opérationnel en novembre 1879.
La couleur verte du feu apparut quant à elle en 1909. Il a été électrifié en 1948.
C’est sans doute la villa la plus atypique de Saint-Quay-Portrieux.
Le Comte de Calan, ancien diplomate en poste au Moyen-Orient lança sa construction en 1880, et exprima sans retenue son goût pour l’architecture orientale.
Le second propriétaire agrandit le bâtiment, en gardant le style mauresque. Il faut dire qu’il était à la mode après l’exposition universelle de 1900. Les sols furent refaits en béton armé sous la direction de l’ingénieur Harel de la Noé, bien connu localement pour avoir dirigé la construction des différents ouvrages d’art de la ligne de chemin de fer du département. La décoration intérieure fut entre autre confiée à Odorico, mosaïste florentin réputé à Rennes. Le bulbe vint coiffer l’édifice afin de lui donner toute sa splendeur reconnue encore aujourd’hui.
Les travaux prirent fin en 1904.
Aujourd’hui, il s’agit d’une propriété privée, jouxtée d’un hôtel.
Un financement élaboré à partir du système de « La part à Dieu » permit sa construction en 1770. Les recettes pour partie des ventes de la pêche, et la main d’œuvre et les matériaux gracieusement offerts par les habitants permirent d’ériger le bâtiment. Des dons d’éléments décoratifs divers provenant des marins et pêcheurs agrémentèrent l’intérieur de l’édifice.
Acquise en 1792 par un particulier, elle fut revendue à l’Union Paroissiale en 1836 puis cédée à la ville en charge de l’entretenir. Restaurée en 1929, elle abrite toujours une toile représentant le port en 1777, une statue de Saint Augustin, une autre de Saint Clément et un autel en marbre d’Italie.
Original : sa voûte en carène de bateau.
L’origine du parc, situé dans le quartier de Kertugal, est depuis longtemps source de débats.
Alors, Chaos ou dolmens ? Les appréciations divergent.
Entre découvertes préhistoriques (outils, tumulus…) et les légendes de rassemblements ancestraux, le site continue d’alimenter l’imaginaire.