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Ce port d'échouage conserve tout le caractère d’un petit port breton traditionnel et vit au gré des marées. Ancien port de pêche et de marchandise, le Portrieux est aujourd'hui dédié à la plaisance. Le quai de la République offre une promenade agréable, et la plage du Portrieux, orientée Sud, est idéale pour un bain de soleil (baignade interdite).
Le premier abri portuaire était situé du côté de Kertugal dans l’anse naturelle de la grève de la Fontaine de Saint-Quay. Cette anse étant directement ouverte aux vents violents du Nord Est, on dévia progressivement sur l’anse du Portrieux, mieux protégée des vents. Ce nouveau site se développa dès 1612, avec les premiers départs des bateaux pour la pêche à Terre-Neuve, aussi appelée « Grande Pêche ».
Avec l’arrivée du tourisme, le port s’ouvre à de nouvelles activités : dès 1920, il est possible d’embarquer pour l’île de Bréhat et les îles Anglo-Normandes, d’abord à la voile, puis en vapeur.
Deux explications seraient à l’origine du nom de Portrieux. Pour comprendre cet orthographe, il faut séparer les deux syllabes qui le constituent : Port et Rieux. Le rieu est un filet de pêche mais il peut aussi se référer aux feux allumés sur les falaises par les habitants pour prévenir des dangers de la côte.
Le phare du Portrieux est le prototype de l’exposition internationale de Paris de 1867 ; il mesure environ 12 mètres et est constitué d’un noyau central en plaques métalliques boulonnées et des marches en fer. Il est très caractéristique de l’ère industrielle où le fer, la fonte et le verre étaient en plein essor. Dessiné par Léonce Raynaud, il est sorti des ateliers Rigolet.